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Wicked Game - Apolline

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Dim 8 Déc - 18:57
« Une petite citation qui va bien »

Auteur
๑ Identité

ApollineJefferson
SunnyMoldue
31 ans10 février 1968
Anglaiseespagnole
HétérosexuelleCélibatairement rêveuse
Gardienne de MuséeHelleborus


๑ Recencement


Code:
<avatarpris>๑ Jenna Louise Coleman</avatarpris> - @"Apolline Jefferson"

Lieu de l'Emploi/Occupation : [ Londres Moldu (laissez la bonne catégorie)] à Soho (trafalgar Square)
Code:
๑ Gardienne du National Gallery Museum - @"Apolline Jefferson"

Lieu de vie :[Londres Moldu (laissez la bonne catégorie)] à Soho
Code:
๑ Loft - @"Apolline Jefferson"



Apolline JEFFERSON

๑ Caractère


On dit D'Apolline que c'est une jeune femme rêveuse. Toujours perdue entre la minde frontière entre le songe et la réalité, flânant au travers les histoires de ses livres. Car oui, il est rare de voir la belle sans un livre dans son sac à main ou un calepin sur lequel elle inscrit ses pensées. Sa douceur n'a d'égal que sa volonté à faire le bien autour d'elle, Apolline est d'ailleurs engagée en tant que Bénévole dans un orphelinat du coeur de Londres, un loisir qui lui prend tout son temps. Qu'on ne s'y trompe pas, générosité et douceur ne rime pas avec apathie car dès lors qu'elle considère quelque chose comme injuste, elle est prête à hurler haut et fort sa détermination et sa colère. Apolline n'est pas femme à se laisser abattre ; tant par les tribulations que la vie lui impose que par la société en général et tant pis si ce qu'elle est ne correspond pas au standard étriqué des bonnes moeurs.
Un brin naïve, la pureté profondément ancré dans sa chair, Apolline est un bout de femme passionnée et intéressée par tout ce qui l'entoure. Curieuse mais aussi parfois téméraire dans sa manière d'aller dans le monde, elle préfère voir le verre de verre à moitié plein que vide. Bien que la jeune femme soit toujours droite et intègre, elle manque singulièrement de confiance en elle et est d'une timidité presque maladive.
Malgré tout, elle est toujours prête à croire à l'impossible. C'est ce qui fait son charme : cette capacité à ne pas se plonger dans le déni au profit de l'improbable : d'ailleurs elle est persuadée que les mystères de ce monde n'ont pas tous été résolus, et elle prend grand soin en creuser, chercher et fouiller la moindre énigme qui tombe devant elle.
Intelligente, cultivée, elle peut passer des heures à lire et à converser sur toute sorte de sujet dès lors qu'elle a trouvé un partenaire adéquat. Apolline est aussi une touche à tout : peinture, ecriture, et musique, elle aime jouer du piano et du violon, instruments qu'elle affectionne particulièrement.


๑ Histoire


Au commencement il n’y avait rien.

Allongé dans l’herbe humide, elle lève les mains vers le ciel. Dans son esprit d’enfant, elle imagine des histoires sur ce vaste espace qui l’écrase presque. On lui a dit un jour que le monde était une toile, façonnée par une main invisible et en perpétuelle composition. Alors bien sûr, dans ses idées juvéniles l’extraordinaire a laissé son empreinte et c’est émerveillé qu’elle contemple l’univers tourner autour d’elle avec cet ineffable sensation d’être un rouage au mécanisme qui s’étend par delà l’horizon du firmament. Infime particule de création, presque insignifiante mais suffisante pourtant à fasciner ses pensées. Au dessus de lui, il y a la vie ; celle qui grouille, celle qui pullule, celle qui foisonne. Elle n’est pas grand-chose, elle le sait déjà du haut de ses 6 ans, mais elle fait parti d’un tout : un schéma oeuvré par une force cosmique infiniment grande. Quelque part, ça le rassure, il y aura toujours quelqu’un pour désirer son existence. Puisque le paternel s’est fait la malle depuis belle lurette, laissant la mère esseulée avec la môme, ça lui donne la force d’imaginer que sa venue au monde n’est pas totalement dénuée de sens. Enfin, c’est toujours mieux que d’imaginer être l’indésirée, la petite erreur, la tâche d’encre dont on ne peut effacer la trace.
Parfois, les pleurs de sa mère le réveille pendant la nuit. Elle fait ce qu’elle peut : avec ses mains tremblantes et ses baisers qui ne camouflent que pour quelques heures la solitude de son existence. Plus que l’infini. Plus que l’éternité. Elle lui chuchote à l’oreille pour la bercer d’un amour sans frontières, ainsi elle se dit qu’arroser la petite avec tendresse lui permettra de devenir une femme forte, une femme bienveillante qui ne s’égarera pas en chemin.  Pas comme son père.  C’est pas que Apolline soit traumatisée par cet odieux abandon, non, c’est juste qu’elle a beau y faire, elle les voit toujours ces ombres sous les yeux de sa mère, et les cris silencieux qu’elle garde dans sa gorge lorsque vient la nuit et qu’elle s’endort dans la couche conjugale froide. Apolline, elle aimerait être assez grande, assez puissante pour tirer sa mère de la honte que leur père à jeté à leur pieds. Apolline c’est une gamine qui croit dur comme fer en la volonté de vaincre, Apolline c’est une gamine qui tisse ses rêves à forces d’idéaux sans jamais laisser choir l’espoir de les réaliser.

****
La main sous le menton, ses grands yeux bleus posé sur la vitre de la bibliothèque au travers d’une expression placide, elle regarde par la fenêtre toutes ces silhouettes qui s’activent par delà les murs du bâtiment : elle peut presque entendre leurs rires résonner en écho et rebondir sur les briques humides. Ça grouille. De vie et puis de promesses de liberté. Les beaux jours ont cet effet sur la majorité des personnes ; et à 23 ans, il paraît que le monde est aux pieds de la jeunesse.
Les arbres sont en fleurs ; quelques pétales s’envolent, tourbillonnent au grès de la brise printanière jusqu’à délicatement parsemer le sol d’un tapis de couleurs. Pluie cotonneuse de corolle annonçant un été tiède. Personne ne remarque pourtant la scène qui se joue là, sous leurs yeux. Personne. Sauf elle. Ça a toujours été comme ça : Elle a toujours su voir les détails muets, les infimes particules de la beauté cachée. Les histoires silencieuses que personne ne veut raconter en dépit des secrets qu’elles renferment. Captivée, Elle scrute le moindre mouvement de branche, imagine des contes fourmillant dans la sève, envisage des mythes accrochés à leurs écorces.
Ses doigts glissent contre la surface graveleuse du papier, laissant un crayon noircir un vieux calepin qu’elle garde toujours dans son sac. Pour des moments comme celui-ci. Pour combler l’inertie de son esprit dans laquelle elle se plonge ; refuge momentané à la réalité inconvenante qui n’a jamais su la retenir. C’est ça la vraie nostalgie : lorsque la vie manque alors même qu’on l’a encore. Alors c’est vrai, elle ne peut pas empêcher le temps de s’écouler, inexorable fatalité fanant les jours et creusant les visages éphémères,  mais à l’aide de son crayon, elle est encore capable de fixer les vertiges de l’instantané : et ça, c’est la définition même de son éternité. Tout passe, mais pas les sentiments du moment présent.
Elle a des idées pleins la tête, Apolline, et les poches immensément vides pourtant. Mais rien ne l’arrête : ni ce sourire qui se fige sur son visage d’angelot, ni même les nuages qui planent au dessus de sa tête brune menaçant d’abattre la foudre sur son coin de paradis. Parce qu’elle est sa propre lumière et qu’on empêche pas le soleil de briller. Elle se relève enfin, effleure le parquet de ses pas discrets et erre entre les rangées de livres laissant quelques doigts gracile glisser le long de la tranche de certains ouvrages. Ici, c’est son refuge ; entre les effluves des pages vieillies et le silence en étole rassurante. De quoi s’émanciper au-delà des barrières de la vie monotone et absurde qu’on tente de lui faire revêtir.
De toute façon, elle veut pas être comme les autres, Apolline. La belle se moque pas mal des moqueries ou de ces critiques qui l’accable de préjugés tout aussi grotesques que futiles. «  t’as plus 10 ans pour encore croire en ces histoires abracadabrantes ! » «  Sort la tête de tes bouquins ! Tu passes à côté de ta vie ! ». A cela elle sourit plus fort. Vibrante de douceur. Leur pardonne volontiers leur manque singulier de jugeote et ses yeux ambre, elle leur chuchote en silence : Je ne passe pas à côté de ma vie, je la remplie de beauté là où vous ne voyez que la laideur.  Elle va et vient, sans entrave autour de ses poignets, en s’efforçant de garder la tête haute, et pourtant, son existence est similaire à la houle de l’océan en pleine tempête.
Elle tire un livre du rayon santé, le feuillette avec sérieux. Les maladies neurodégénératives.  Inquiétude dissimulé derrière un minois stoïque, Apolline a pourtant apprit à vivre avec cette boule au ventre permanente. La vérité est crue, et bien qu’elle lui ai asséné un coup en pleine figure, elle ne se laisse pas démonter. Maman ne va pas bien. Maman l’oubliera un jour. Mais elle, elle  n’oubliera pas maman. Elle s’y prépare doucement. Se dit que de nos jours, il existe assez de moyens technologiques et médicaux pour repousser l’échéance de cette funeste fatalité mais n’est pas assez naïve pour croire en un remède miracle. Le temps : voilà encore la seule chose qu’elle a les moyens de modeler : ça lui a coûté la poursuite de ses études en art et en lettres modernes et l’obligation de travailler à la national Gallery pour pouvoir rembourser les dettes laissées par le père absent ainsi qu’offrir à cette femme si chère à son coeur un traitement viable et efficace, mais c’est un sacrifice qu’elle ne regrette à aucun moment.
Alors oui, son amour pour les livres lui permet de tenir sur ses deux jambes. Mais par delà le reste, elle a finalement gardé en son coeur ces rêves d’enfants dont les éclats de rires ricochent encore sur son âme.

****
La porte claque, les pas résonne jusqu’au salon où une femme repose sur le fauteuil face au poste de télévision allumé sur les informations locales. «  Amor Mio ! c’est toi ? » « Oui maman. ». Les années ont passées, les aiguilles au cadran affichent désormais 31 ans : Apolline est un joli brin de femme, pas de ces beauté fatales ni même de ces femmes sulfureuses dont les hommes raffolent, non, sa beauté a elle réside dans la simplicité. Elle a gardé ce visage mutin et cet air espiègle qui souligne la douceur de son regard, un sourire toujours accroché à ses lèvres comme si rien ne pouvait l’ébranler pas même l’apocalypse. «  Tu as vu ton père ? il n'est toujours pas rentré. » La question effrite quelques remparts dans la coeur de la brune qui s’efforce pourtant d’adopter une attitude désinvolte. « Maman, on en a déjà parlé, il est parti voila bien longtemps, tu te souviens ? » Le regard de la femme est traversé d’un éclair de lucidité. En une fraction de secondes, ses souvenirs lui reviennent : l’absence aussi. Elle ne bronche pas, se contente de sourire à sa fille. «  C’est vrai Querita, on a jamais eu besoin de lui. ».
Elle aquiesce. Son père n’est plus qu’un lointain fantôme dans sa mémoire. Un spectre qui ne lui a laissé que l’empreinte des choses brisées dans le coeur. Pour Camilla, c’est une autre histoire : chaque jour où son esprit flanche, l’uppercut du manque revient la heurter, alors Apolline rassure, Apolline adoucit les mœurs. Elle lui joue souvent cette mélodie sur le vieux piano familial : elle n’est pas une grande pianiste, c’est vrai, il y a quelques notes bancales parfois, mais elle a le mérite de jouer juste et avec une profonde émotion. De celles qui s’ancrent dans la chair bien avant d’avoir résonné dans les tympans. C’est quelque chose qu’elle a toujours su garder précieusement, être entière.
Son sourire est corrosif lorsqu’elle embrasse la joue de sa mère. «  Tu étais où ? » Apolline se redresse et attrape son sac à main duquel elle sort quelques esquisses juvéniles. «  A l’orphelinat. Liam m’a encore gâté. »  Camilla attrape les estampes et les observe avec un œil bienveillant. «  Cet enfant t’aime vraiment beaucoup. Depuis toutes ces années, on pourrait retapisser le salon ! ». Derrière cette malice se cache pourtant la tragédie de la condition de cet enfant. Liam est un jeune garçon de 8 ans, arrivé dans la structure peu après qu’elle même y soit entré en tant que bénévole, il y a de cela 5 ans. C’est un garçonnet discret, timide, profondément curieux qui a instantanément touché la jeune femme ; similaire sur bien des points, il a cette façon à lui de voir le monde. Des gosses, en 5 années, elle en a vu passés ; mais Liam, lui, est toujours resté là, à attendre qu’une famille veuille bien lui offrir la douceur d’un foyer. Lui qui a vécu les maltraitances de parents violents et alcooliques ; c’est d’ailleurs ce dernier facteur qui a causé leur mort alors qu’ils conduisaient ivres sur l’autoroute, Liam sur la plage arrière de la voiture. Lui seul en a réchappé, par chance.  
Alors, elle tente comme elle peut de rendre sa vie belle. Sur les vestiges de sa solitudes, elle lui a batit un royaume sur lequel il règne en maitre : innocence préservé au moyen de ces jeux qu’ils s’inventent et de ces histoires qu’ils façonnent au moyen d’histoires de chevaliers et de magie. Parce qu’elle peut bien faire ça, lui offrir la magie dont il a manqué toute son existence, celle qui pulse dans les veines de chacun : l’imagination. «  Une famille doit passer demain, ils veulent rencontrer les enfants et ont manifestés leur désir d’adoption. J’espère que celle-ci sera la bonne... » Elle ne peut s’empêcher d’éprouver quelques angoisses pour l’enfant : bien qu’elle se refuse à lâcher prise, plus le temps passe et plus les chances de voir celui ci être adopté s’amenuisent. A cela, elle ne sait plus que faire.
Quelques bruits provenant de la télévision la ramène de sa torpeur passagère. Curieuse, son regard est happé par les images. Depuis quelques temps, de nombreuses situations improbables font rage à Londres. Les rumeurs sont nombreuses. Les suspicions le sont bien plus encore. Et si, pour l’heure, aucune annonce n’a été faite pour apaiser les tensions qui tendent à s’élever dans le rang des citoyens, rien n’indique où se situe la vérité. «  ça commence à faire beaucoup. Encore un coup du gouvernement pour obtenir les faveurs de la population. » Apolline hausse les épaules et lève les yeux au ciel. « Non maman. Parfois c’est rien de plus que ce que l’on croit improbable, tu sais» Croire est pour elle aussi simple que respirer. Là où d’autres cherchent des preuves irréfutables ou se cloitrent dans le déni, elle, elle préfère ouvrir les bras à tout mystère. «  Ah ma fille ! Tu as toujours eu cette facilité déconcertante à être convaincue de l’impossible. » Camilla lança un sourire  tendre à sa fille. Sa fraicheur avait toujours su toucher son âme de mère : elle, sa fille un peu innocente, un peu naïve avec ses grands airs rêveurs et ses yeux curieux. Cette fille prête à refaire le monde de ses poings levés, à grand renforts d’humanité dans le coeur.
« Tu as vu un hombre aujourd’hui ? ». Apolline sursaute presque sur son fauteuil. Elle se tourne vers sa mère et penche la tête sur le côté. «  De quoi tu parles ? Quel homme ? » Camilla sourit doucement, la voix ferme et les gestes tendres, elle tend la main vers Apolline qui s’empresse de la saisir dans la sienne « Je sais reconnaître lorsque tu es déconcertée. Et cette mine que tu traines depuis quelque temps ne peut signifier qu’une chose. Soit tu as quelqu’un en tête, soit tu es sur le point de tomber malade. Or, au dernières nouvelles, il me semble que tu es en forme, querita. »  les joues de la brune s’empourprent, elle baisse le regard, chuchote presque sa réponse. « Tu ne sais pas de quoi tu parles. Il n’y a personne dans ma vie. c’est juste que... » Elle cherche ses mots. C’est ridicule, au fond. Elle ne connaît rien de lui si ce n’est cette silhouette qu’elle a apprit à reconnaître dans la foule matinale du starbuck d’à côté. Ni un mot, ni un regard, rien qui n’ai de quoi susciter ses émois et pourtant. «  ...C’est juste un gars que je croise tous les matins. J’ai l’impression qu’il diffère un peu des autres. Je ne saurais comment l’expliquer, ça m’intrigue. Mais tu sais, il ne m’a jamais remarqué alors... » Alors ça s’arrête la. Pas de quoi fouetter un chat. Qu’est ce qu’elle pourrait bien lui dire de toute façon, hein ? c’est absurde toutes ces pulsions qui activent son myocarde pour strictement rien. «  Oh crois moi mi amor, tu ne sais pas ce que la vie te réserve et c’est la tout son charme. »

Et c’est là tout son charme.





๑ Vous

Pseudo : SDL
Age : 27 ans
D'où nous venez-vous ? D'une galaxy lointaine très lointaine
Un petit mot en plus : AIMEZ MOIIIII Wicked Game - Apolline 3277101905
Apolline Jefferson
๑ Moldu
Apolline Jefferson
๑ Date d'inscription : 08/12/2019
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Dim 8 Déc - 19:16
Bienvenue parmis nous officiellement ! J'aime beaucoup ta manière d'ecrire!
Absolem Milygans
๑ Sang Pur
Absolem Milygans
๑ Date d'inscription : 02/12/2019
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๑ Sexe : Masculin
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Dim 8 Déc - 19:20
MERCI!!
OU SONT MES COOKIES, MES FLEURS ET MON TEMPLE EN CHOCOLAT? Wicked Game - Apolline 3881653595 Wicked Game - Apolline 3277101905 Wicked Game - Apolline 3558962947 Wicked Game - Apolline 4167988171
Apolline Jefferson
๑ Moldu
Apolline Jefferson
๑ Date d'inscription : 08/12/2019
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Dim 8 Déc - 19:23
Je suis sur téléphone du coup, c'est compliqué de t' accueillir comme il se doit! Wicked Game - Apolline 306543021 Wicked Game - Apolline 3558962947 Wicked Game - Apolline 3558962947 Wicked Game - Apolline 3881653595

Mais ne t'en fais pas, je te promet de te faire des bébés aussi beaux que toi!
Absolem Milygans
๑ Sang Pur
Absolem Milygans
๑ Date d'inscription : 02/12/2019
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๑ Sexe : Masculin
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Dim 8 Déc - 19:39
Bienvenue par ici, jolie Apolline. Wicked Game - Apolline 4167988171
Si tu as des questions, n'hésite surtout pas à nous contacter. Bon courage pour la suite de cette fiche. Wicked Game - Apolline 3558962947
Drago Malefoy
๑ Sang Pur
Drago Malefoy
๑ Date d'inscription : 01/12/2019
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๑ Sexe : Masculin
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Dim 8 Déc - 19:59
Bienvenue :D ♥

Tu es bien belle, oulala ♥
Hâte d'en lire plus !
Orion J. Kaczynski
๑ Moldu
Orion J. Kaczynski
๑ Date d'inscription : 30/11/2019
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๑ Sexe : Masculin
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Dim 8 Déc - 20:29
Absolem : Mais y'a interet! nameho !
Drago : merci bien Wicked Game - Apolline 3558962947 Wicked Game - Apolline 3881653595 je compte bien me faire ma place ici!
Orion : Merci! j'aime beaucoup le "vaguement en couple" sur ta description, J'ai ris Arrow Wicked Game - Apolline 10943600

Je m'active pour vite finir ma fichounette, j'espère que mon personnage plaira <3
Apolline Jefferson
๑ Moldu
Apolline Jefferson
๑ Date d'inscription : 08/12/2019
๑ Messages : 18
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Dim 8 Déc - 20:30
Je crois que c'est toi qui va porter la culotte dans le couple xDDD

En tous cas, ce que tu as marque me plaît déjà!
Absolem Milygans
๑ Sang Pur
Absolem Milygans
๑ Date d'inscription : 02/12/2019
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๑ Sexe : Masculin
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Dim 8 Déc - 20:33
XD Meuh non, elle va être toute douce ma petite Apo' Wicked Game - Apolline 3881653595 Wicked Game - Apolline 2263266300 une GUIMAUVE
Apolline Jefferson
๑ Moldu
Apolline Jefferson
๑ Date d'inscription : 08/12/2019
๑ Messages : 18
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Mar 10 Déc - 14:37
Pour moi, tout est bon Wicked Game - Apolline 1763843088 Wicked Game - Apolline 3558962947 Wicked Game - Apolline 3277101905
Absolem Milygans
๑ Sang Pur
Absolem Milygans
๑ Date d'inscription : 02/12/2019
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๑ Sexe : Masculin
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Mar 10 Déc - 15:43
Tu es validé(e) !


Ohlalala ce tout petit bout de douceur ♥ C'est fou, on ressent le soleil chaud et rassurant à travers son histoire, c'est presque magique :D

j'ai hâte de la voire rencontrer Abso héhé >8D

Maintenant que le cap de la fiche est franchi, tu vas pouvoir te lancer dans le RP, et t'amuser. Pour t'aider à t'y retrouver, voici quelques petites choses pistes.


⇝ Si tu ne sais pas vers qui te tourner, n'hésite pas à aller demander un RP.
⇝ Tu peux créer ton journal pour garder une trace de tes liens.
⇝ Si tu en as envie, tu peux créer un pré-lien pour trouver ce qu'il te manque.
⇝ Si ce n'est pas encore fait, tu peux aussi rejoindre le Discord du forum. Le lien se trouve au dessus de la PA !

Bon jeu sur le forum. Wicked Game - Apolline 4167988171
Orion J. Kaczynski
๑ Moldu
Orion J. Kaczynski
๑ Date d'inscription : 30/11/2019
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